mercredi, août 14, 2013

"Une fille, c'est une fille, j'ai une chatte en travers de la gueule."



J'ai ce truc en moi, cette haine, cette rage. Je peux le sentir dormir comme l'eau, puis soudain bouillir dans le fond de mon ventre et noircir mon cœur, prêt à tout moment à jaillir en éclats d'obsidienne pour vous entailler le visage et vous sectionner les artères.

J'ai ces visions d'horreurs, ces trucs qui me traversent l'esprit en un éclair. "C'est quoi ça ? Comment tu l'enlèves ?" Va y sale merde, approche encore un peu ta main de mon torque que je te brise les doigts. "Tu boudes ?" "Remarque j'en ai rien a foutre", alors casse toi crétin, vas crever, arrête de me parler, de poser des sales yeux sur moi, bouge de là tes mains dégueulasses, vas crever toi et tous les cons qui te ressemblent. 
Comment voulez vous ne pas haïr le monde ? Comment voulez vous que je vous aime, putains de gens, vous me faites vomir, même quand je crois que je peux avoir foi en vous, a chaque fois vous finissez par enfoncer vos sales doigts au fond de ma gorge et vous me forcez a vous vomir. 
Vous êtes contents de vous ? Moi dans mes visions je vous vois pourris, rongés par la vermine, nager dans votre propre sang, vous noyer dedans. Arrêtez un peu, je ne suis pas comme ça moi. Tout ça, c'est votre faute, vous êtes immondes, ne m'approchez pas. Qu'est ce qui vous fait croire que vous pouvez prétendre a me parler ? A me dire toute ces choses ? "Je suis pas ton collègue", non bâtard, tu n'es qu'un pauvre cadavre victime d'Alice. "Tu as un problème d'autorité", "tu as un problème de confiance en toi", "arrête d'agir comme une gosse", "ferme la", toi ferme la espèce de conne, t'es personne, range ta langue et tes airs supérieurs, tu vaux pas un clou, un clou rouillé enfoncé dans ta trachée pour t'empêcher de déblatérer des conneries sur le dos des autres. 
"Tu suces" "je te pètes le cul" "je te met une faciale" qu'est ce que tu attends pauvre frustré ? Viens, ramène moi tes potes, gang bang dans la fausse commune, je vous la tranche et vous laisse vous vider, on verra si mon humour est meilleur que le votre. "J'espère que vous aurez un accident, et que vous vous ferez violer." Comment est ce que je pourrais même commenter cette phrase ? Comment ?

Comment vous voulez que je me dise que j'ai cette haine en moi sans savoir pourquoi et qu'elle ne veut pas partir, que je n'arrive pas a m'en débarrasser ? C'est a cause de vous tous que j'en suis la, de vos mots que je feint de ne pas entendre. Voilà pourquoi elle ne part pas ma fureur. Bouffez la.

mercredi, août 07, 2013

"Oh what can I do ? I still need you, but I don't want you now."

I'm not feeling better, but I'm trying hard.
This shit is really exhausting, all the questions, doubts, fears. Even when I'm smiling I can feel I'm freaking sad and I can't think about anything else. 



« That kind of man is really good for making you think you deserve what's happening to you »