Entre un travail au service public Soit-bien-gentille-et-n'oublie-pas-de-sourire, montre-pas-tes-genoux-ça-nous-fous-la-trique, une traque délirante cachée au fond du cul du cerbère, et un étalage de pâté accompagné de petites remarques misogynes bien pensées par des messieurs encore-des-tartines-poulette-montre-nous-tes-fesses, je me sens lasse de mon job d'été, comme vous tous je présume.
Ô mois d’août, tu subira la revanche de la mini-jupe, des insultes gratuites, et des baffes perdues.
2 commentaires:
Bien dit !
Vu le temps qu'il a fait xD
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